Montant dépensé en magazines donnant des astuces et des conseils pour une rentrée scolaire dans les meilleures conditions: 12,70€. Et honnêtement, argent dépensé en vain. Bien qu'il faut avouer que les recommandations étaient judicieuses et que je les ai toutes appliquées.
J’avais déjà commencé à appliquer certains conseils depuis l’année dernière dont : parler de l’école.
J’emprunte à la bibliothèque 4 livres pour mes filles chaque semaine. Et ces 12 - 13 derniers mois, sur les 4, il y avait toujours un livre sur l’école:
*vue sous l’angle de l’apprentissage
*vue sous l’angle de la diversité des personnes qu’on y rencontre
*vue sous l’angle des personnages de dessins animés
*bref vue sous une multitude d'angles (plus de 50 livres différents sur l’école. Merci aux auteurs pour leurs idées).
Tout ça pour écrire qu'a priori, le lundi 2 Septembre 2013, première rentrée scolaire de mon aînée allait certainement être une source de bonheur pour elle tellement nous nous sentions prêts, et tellement nous la pensions prête et impatiente d’y être. Mais elle a pleuré, des petites larmes qui ont roulé sur ses joues et dans nos cœurs de parents qui nous sentions coupables. Le mardi, elle a pleuré plus fort. Le mercredi, elle allait dans la garderie où elle va depuis plus de 2 ans, donc elle était heureuse. Le jeudi, elle a crié quand son père l'a laissée à l’école et le vendredi, ce fut mon tour, et j’entendis ses hurlements. Rebelote la semaine suivante. Mais paradoxalement, le soir, quand nous allons la chercher, elle semble heureuse, nous raconte parfois sa journée et ne veut pas toujours partir. Donc en fin de compte, cette première rentrée n’aura pas si été pénible. Pas un pur bonheur, mais pas une vive douleur.
Die Rückkehr: jeder Anfang einer Tatsache und manchmal das Ende von anderem. Und Freude und Traurigkeit verschlingen sich so,
Höhe der Ausgaben auf Zeitschriften mit Tipps und Ratschläge für einen Schuljahres in den besten Bedingungen: 12,70 €. Und ehrlich, das vergeblich ausgebene Geld. Obwohl man zugeben muß, daß die Empfehlungen scharfsinnig waren und daß ich sie alle angewandt habe.
Ich hatte schon angefangen, bestimmte Ratschläge seit dem letzten Jahr anzuwenden, von dem: über die Schule sprechen.
Ich leihe von der Bibliothek 4 Bücher für meine Töchter jede Woche. Und dieser 12 - 13 letzte Monate, auf 4, gab es ein Buch über die Schule immer:
* unter dem Aspekt der Lehre
* unter dem Aspekt der Verschiedenheit der Personen, der man da begegnet
* Die Perspektive von Comic-Figuren
* Ansicht aus einer Vielzahl von Winkeln (über 50 Bücher über Schule. Dank den Autoren für ihre Ideen).
Alles das, um zu schreiben, daß erster Schulanfang meiner Ältesten a priori, am Montag, dem 2. September 2013, eine Glücksquelle für sie so sicherlich gerade sein wollte wir, fühlten uns bereit, und so dachten wir sie bereit und ungeduldig, dort zu sein. Aber sie schrie, kleine Tränen, die ihm über die Wangen gerollt und in unsere Herzen von Eltern, die wir fühlten uns schuldig. Am Dienstag rief sie härter. Am Mittwoch ging sie in den Kindergarten, wo sie geht für mehr als zwei Jahre, so war sie glücklich. Am Donnerstag hat sie geschrien, wenn sie ihr Vater der Schule zurückgelassen hat und an Freitag war das meine Reihe, und ich hörte ihr Brüllen. Aber paradoxerweise scheint der Abend, wenn wir sie holen, sie glücklich zu sein, erzählt uns manchmal ihren Tag und will immer nicht gehen. Also schließlich wird diese erste Rückkehr so nicht mühselig gewesen sein. Kein reines Glück, aber kein lebhafter Schmerz.