Oui j’avoue, je suis un peu obsédée par l’allaitement en ce moment. Je pratique peu et je n’ai pas l’intention de pratiquer plus mais j’avoue que ce qui tourne autour m’intéresse.

En ce moment, je suis à la recherche du coussinet d’allaitement idéal

J’en ai essayé plusieurs : les petits, des larges, ceux qui se veulent bio, d’autres plus polluants, en laine, en coton, ceux à 7 euros les 50 tout comme ceux à 4 euros les 2, chacun son efficacité. Je les utilisais sans en avoir vraiment besoin car il y avait peu de débordement mais on ne sait jamais.

Mais maintenant que j’en ai vraiment besoin pour cause d’interruption d’allaitement en journée, il me faut trouver la vraie perle rare.

La semaine dernière, j’ai eu la mauvaise idée de n’avoir que 2 coussinets-certaines personnes diront que c’est normal, peu de femmes ont 3 seins- mais je veux dire  sans aucun de rechange alors que je partais de chez moi pour la journée. Erreur, erreur : à 12 heures , mon parfum aurait pu se nommer "effluve laiteuse"- ça a l'air joli écrit comme ça mais la réalité était tout autre- et à 18 heures j’exhalais le lait pas très frais -vous avez dit "lait qui a tourné?".

Je vais peut-être essayer des coquilles ou des coupelles ; une amie d’une de mes tantes m’a dit qu’elle mettait des bavoirs en éponges qu’elle pliait. Je suis un peu dubitative quant au résultat

Les photos proviennent de Google

De nombreuses personnes de mon entourage m’ont rendu visite à la maternité et même s’il est vrai que j’ai apprécié leur visite, j’ai aussi aimé leurs cadeaux pour moi : des chocolats. Apparemment, généralement on offre des fleurs. Mais je n’en suis pas spécialement fan. Mais le chocolat est une de mes faiblesses.

Ma belle-sœur et son époux en signe de clin d’œil m’ont apportée une sorte de pot de fleurs mais avec au bout du chocolat à la place des fleurs. Sur les photos, il n’en reste plus beaucoup car le reste est dans mon ventre ; trop bon.

J’en ai mangé, mangé, mangé. Dégustation de petits plaisirs bien récompensée par une prise de poids. Mais bon, ce n’est qu’un détail.

Je m’étais dit que j’essayerai dans la mesure du possible de vivre les choses un peu différemment durant cette seconde grossesse.

La 1^ère fois, j’avais été très vite fatiguée ; là j’ai eu la chance de ne pas avoir de nausées donc  j’ai continué le vélo, la natation, la trottinette, le plus longtemps possible.

La 1^ère fois, j’avais pris 27 kg, là je me suis limitée à 7 kg ; car il faut être honnête pas besoin de manger pour 2 comme on dit–même si j’avoue que j’ai eu d’énormes envies de glaces- il faut juste essayer de manger tant qu’on peu diversifié.

En ce qui concerne la partie accouchement, il y eu aussi quelques différences. Pour ma 1^ère grossesse, je savais que je ne voulais pas de péridurale et donc que j’aurais très mal ; mais je me disais que de nombreuses femmes de ma famille avait vécu ça dans la sérénité donc je pouvais bien faire la même chose. Mais , dingue de dingo, wow, bien que le jour j , j’étais sereine,  la douleur m’a vraiment surprise.

Pour cette seconde grossesse, j’étais tout aussi sereine, je connaissais l’intensité de la douleur donc je pensais bien la vivre. Mais ce jour là, à 3 h 21 du matin, après 3 heures de travail chez moi, quand je me suis rendue compte que c’était le jour de l’accouchement, j’ai pleuré ; pleuré car je ne me sentais pas prête. Ma mère et ma belle-mère m’avaient dit qu’on oublie tout quand on voit son bébé- ouai ouai -  mais toutes les douleurs ressenties en 2010 me sont revenues telles un boomerang . J’avais maaaal, mais je pense que l’idée de la future douleur participait aussi à l’intensité de ma douleur. Au moment de la délivrance, je grelottais de la bouche, pas par froid mais par peur de pousser, « glaglagla , non j’ai peur, glaglagla est-il possible de reporter cet accouchement, glaglagla » .

Finalement tout s’est bien passé et je remercie toutes les personnes qui ont participé au bon déroulement :les 2 sages-femmes, mon époux et bien sûr jeune bébé et moi.

A l’occasion de l’arrivée de notre seconde fille, étant donné qu’il était prévu qu’elle dorme avec sa sœur dès qu’elle ferait ses nuits, nous nous sommes mis à la recherche d’un lit à étage pour deux. Mais nous n’en trouvions pas qui nous convienne ou alors c’était soit réservé à des professionnels (garderies…), soit un peu trop onéreux.

Ce lit à étage fut difficile à trouver car nous le voulions avec certaines particularités:

F     Il fallait que le lit du haut ai des barreaux mais que ce soit facile d y mettre et d’  enlever un bébé sans se contorsionner, ni se mettre sur la pointe des pieds et sans que le bébé ne tombe ; il fallait donc une sorte de porte coulissante de haut en bas

F     Il fallait que le lit du bas soit muni de quelques barreaux, pour que notre aînée ne tombe pas le temps de s’habituer à un lit sans barreau.

La 1^ère étape fut d’acheter le même lit pour la seconde que pour la 1^ère pour que tous les montages soient faciles. Nous avons cru avoir trouvé. Mais il y a quelques différences :

• Les barreaux du 1^er lit ont un écart de 71cm alors que ceux du second 66 cm. Les normes européennes en deux ans ont apparemment changé
• Le bois du second lit est un peu plus clair

Mais en fin de compte ce n’est pas si important. Quand mon mari, dont j’ignorai les compétences en menuiserie m’a dit qu’il allait créer ce lit, j’ai eu des doutes, mais je lui ai fais confiance.

Et honnêtement je ne suis pas déçue, il a fait des plans, acheté tous le matériel nécessaire et fait ce double lit en 3 jours. Félicitations jeune homme.

J’ai une amie qui a dans son entourage de nombreux docteurs en médecine. Ils sont souvent très sollicités par des villes, des villages- surtout les spécialistes car souvent leur nombre diminue.

Par exemple dans la ville à côté de chez moi, il y avait 4 généralistes, il y en a plus que deux, super galère.

Plus près de moi, nous amenions notre fille chez le même pédiatre quasi depuis sa naissance. En juin de cette année, nous avons pris rendez-vous pour la visite des 2 ans et la date la plus proche fut un jour d’octobre. Mais il y a quelques semaines, nous avons reçu un message qui nous disait que le pédiatre était décédé cet été -super triste-. En plus il faisait partie d’un cabinet où ils étaient 3 pédiatres associés et la seconde pédiatre va à la retraite cette année.

Nous avons déjà contacté au moins 10 pédiatres mais aucun ne prend de patient supplémentaire. Finalement nous nous tournons vers le généraliste car double galère, à l’hôpital, les pédiatres ne peuvent être consultés que pour les enfants malades pas pour les visites, mêmes obligatoires.

J’ignore quelle est la cause de cette pénurie mais j’espère qu’elle ne durera pas car mine de rien, les docteurs sont souvent incontournables.